Parmi les conclusions de l’étude :
- Les légumineuses constituent un levier majeur pour diminuer l’impact environnemental et climatique de l’agriculture, tout en renforçant l’autonomie protéique régionale
- Un élevage aujourd’hui très dépendant des importations mais présentant de réelles opportunités de valorisation des légumineuses
- Une consommation faible de légumineuses par les humains que la végétalisation de l’alimentation et la restauration collective peuvent renforcer
« La production régionale de protéines de légumineuses à graines ne couvre aujourd’hui que 48% des besoins théoriques régionaux, dominés à plus de 90% par l’élevage. Cependant, compte tenu de sa spécialisation agricole en grande culture et de la taille relative de son cheptel, la région figure parmi celles qui pourraient le plus facilement atteindre l’autonomie en protéines issues de légumineuses. »