Le rapport recommande notamment :
- que le droit à l’alimentation soit inscrit dans la législation française via une loi-cadre;
- qu’une stratégie globale multidimensionnelle est urgente, prenant en compte les enjeux environnementaux, sociaux, agricoles,
- qu’un·e délégué·e interministériel·le chargé·e de coordonner la mise en œuvre du droit à l’alimentation soit nominé·e
- d’adopter une vision systémique qui intègre l’alimentation dans toutes les politiques publiques liées à la santé, à l’agriculture, à la lutte contre les inégalités et à l’environnement.